Aristote examine les différents genres de vie et nous livre de belles réflexions sur l’amitié et … Il s'appuie sur sa propre théorie des catégories, qui divisent l'être en général en dix genres suprêmes irréductibles les uns aux autres, créant ainsi une multiplicité qui ne se laisse pas ramener à une Idée ou Forme unique : « Ainsi évidemment le bien n'est pas une sorte d'universel commun à toutes [les catégories] ; il n'est pas un, car s'il l'était, on ne le retrouverait pas dans toutes les catégories, et il serait dans une seule exclusivement »[13]. », Par suite, la justice-égalité n’est qu’une justice partielle, ou particulière, car tout ce qui n’est pas équitable est - ou devrait être - nécessairement contraire à la loi, tandis que tout ce qui est contraire à la loi n’est pas nécessairement inéquitable. (II.A.626) A LA GLOIRE DE LA PHRONESIS ( ÉTHIQUE A NICOMAQUE, LIVRE VI) C'est un étrange destin en vérité que celui du Livre VI de l'Éthique à Nicomaque et De manière analogue, l’homme éthique est celui qui a pour habitude consciente d’être invariablement et volontairement juste dans son rapport à autrui. Aristote présente la justice comme un moyen. », « Un autre point fait débat concernant l'homme heureux : a-t-il oui ou non besoin d'amis ? La thèse d'Aristote est que la Justice est la vertu souveraine, celle par laquelle l'homme accomplit sa finalité éthique. Aristote différencie les actes consentis – ceux qu'on fait en pleine possession de nos moyens, quand, en termes plus triviaux, « on sait ce qu'on fait », et les actes non consentis – ceux qu'on effectue en réaction à une violence extérieure, ou par ignorance. 2. S’il s’agit du mal c’est l’inverse : car le mal moindre comparé au mal plus grand fait figure de bien, puisque le mal moindre est préférable au mal plus grand ; or ce qui est préférable est un bien, et ce qui est préféré davantage, un plus grand bien »[27]. L'Éthique à Nicomaque, principal ouvrage d'Aristote traitant de la philosophie morale, est un exposé des différentes questions relatives à l'action humaine, en vue d'apprendre à l'homme non seulement à connaître la vérité, mais à vivre selon la vérité. Résumé . Par ce titre, on comprend que ce texte est destiné aux débutants, aux jeunes hommes. Ci-dessous un extrait traitant le sujet : ARISTOTE : ETHIQUE A NICOMAQUE (Résumé & Analyse) Ce document contient 3706 mots soit 8 pages.Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Aristote prend l’exemple de la richesse, pour montrer l’ampleur de telles divergences : la richesse peut sauver la vie d’un homme, mais peut aussi provoquer la mort d’un autre. Thomas d'Aquin en a fait un commentaire au XIIIe siècle. En revanche, si l'acte est impulsif, il s'agit d'un acte consenti mais non décidé. Dans ce traité, celui-ci cherche quel est le souverain bien. Il s’agit du bonheur, mais comment l’atteindre ? Quand on décide, en vue d'un but précis, on délibère intérieurement, on pèse le pour et le contre. ^ éthique à Nicomaque, Livre I, chapitre 2, 1095a27-30. ÉTHIQUE A NICOMAQUE. Plat à Partager Entre Amis, La différence d’avec le juste distributif réside donc en ce que la proportion que le juste correctif fait intervenir est arithmétique ; il n’est plus question de valeurs relatives, mais de gains et de pertes. nécessaire]. », « Mais si le bonheur est une activité conforme à la vertu, il est rationnel qu'il soit activité conforme à la plus haute vertu et celle-ci sera la vertu de la partie la plus noble de nous-mêmes. Ces amis, en effet, s'aiment pour ce qu'ils sont et non par accident. Il existe donc une application proportionnelle du principe de réciprocité, et « c’est cette réciprocité-là qui fait subsister la cité : car les hommes cherchent soit à répondre au mal par le mal, faute de quoi ils se considèrent en état d’esclavage, soit à répondre au bien par le bien, − sans quoi aucun échange n’a lieu, alors que c’est pourtant l’échange qui fait la cohésion des citoyens »[30]. Réciproquement, pour l’injustice, « tandis que l’injustice au sens partiel a rapport à l’honneur ou à l’argent ou à la sécurité (ou quel que soit le nom dans lequel nous pourrions englober tous ces avantages) et qu’elle a pour motif le plaisir provenant du gain, l’injustice prise dans sa totalité a rapport à toutes les choses sans exception qui rentrent dans la sphère d’action de l’homme vertueux[25]. Dans le livre II, Aristote recherche ce qu'est la vertu. On fait cet acte volontairement mais il n'est pas le fruit d'une délibération. Et celle-là, c'est précisément la science politique » . Il existe une hiérarchie des sciences : les sciences particulières sont subordonnées à une science maîtresse (ou architectonique). L’Ethique à Nicomaque est probablement dédiée au père ou au fils d’Aristote, qui portaient tous deux ce nom. Sa thèse est la suivante : les actions justes ou injustes commises volontairement sont véritablement justes ou injustes ; au contraire, les actions involontaires justes ou injustes ne sont justes ou injustes que de manière accidentelle. Dans la plupart des cas, toutefois, la distribution n'est pas évidente, car « si, en effet, les personnes ne sont pas égales, elles n’auront pas des parts égales ; mais les contestations et les plaintes naissent quand, étant égales, les personnes possèdent ou se voient attribuer des parts non égales, ou quand, les personnes n’étant pas égales, leurs parts sont égales »[26]. 4 « Sans doute l’identification du bonheur et du Souverain Bien apparaît-elle comme une chose sur laquelle tout le monde est d’accord ; ce qu’on désire, Or le rôle d'un ami - cet autre soi-même - consiste à apporter ce qu'on est incapable de se procurer par soi-même [37]. ... Lire la suite du résumé C'est ensuite à l'homme magnanime qu'il s'en prend. Nous ramenant à une distinction précédente, Aristote nous rappelle à juste titre que seules les actions visant l'utile sont contraignantes, contrairement à celles visant le beau ou l'agréable – affirmation incontestable même si, bien sûr, il est possible, comme le dit l'expression moderne, de joindre l'utile à l'agréable. Cette interrogation le pousse à s'interroger sur le genre de vie et les conduites les plus susceptibles de rendre heureux[Note 1]. Commentaire de texte de 7 pages en culture générale & philosophie : Ethique à Nicomaque, d'Aristote. Pour Aristote, l’éthique est avant tout une sagesse de l’homme qui se détermine dans l’action. ^ éthique à Nicomaque, Livre I, chapitre 10, 1099b20-25. Le plaisir concerne à la fois le sensible et l'intelligence, il se caractérise par un désir de vivre sans entraves. DANS L'ÉTHIQUE À NICOMAQUE ET VÉTHIQUE À EUDÈME Evelyne PROULX RÉSUMÉ. Aristote substitue à l'Idée platonicienne unique et séparée, une hiérarchie des biens avec à son sommet un bien suprême auquel les autres sont subordonnés comme des moyens à une fin (τέλος, telos). Aristote insiste : le consentement n'a rien à voir avec la décision. L’Éthique à Nicomaque, avec les autres écrits connus d'Aristote largement diffusés dans l'Empire chrétien d'Orient, a suscité d'importants commentaires grecs d'Aspasios[réf. Éthique à Nicomaque. L’Éthique à Nicomaque a engendré l'une des principales branches de la philosophie, l'éthique (fondée conjointement avec Platon, les stoïciens et les épicuriens). Ainsi que les classiques français[réf. Ivan Gobry discute de l'existence de cette mention « à Nicomaque », et de la pertinence des deux titres utilisés pour traduire, Éthique à Nicomaque ou Éthique de Nicomaque (pour Jean Voilquin par exemple). Réciproquement, « on considère généralement comme étant injuste à la fois celui qui viole la loi, celui qui prend plus que son dû, et enfin celui qui manque à l’égalité, de sorte que de toute évidence l’homme juste sera à la fois celui qui observe la loi et celui qui respecte l’égalité[23]. De plus, à l’époque classique d’Aristote, la dédicace des traités était chose inconnue[4]. Il peut ainsi définir la vertu à partir de la notion de juste milieu. On en arrive donc à la question essentielle : quel est ce bien suprême, qui est objet de la politique ? Acheter Masque Anonymous, L'Éthique à Nicomaque n'est pas seulement l'une des oeuvres les plus célèbres d'Aristote, l'une de celles qui témoignent le mieux aujourd'hui de sa philosophie. C'est aussi, plus généralement, un des grands textes de l'histoire de la pensée. Selon lui, la justice fait intervenir au moins quatre termes : « Les personnes pour lesquelles elle se trouve en fait juste, et qui sont deux, et les choses dans lesquelles elle se manifeste, au nombre de deux également »[26]. ^ Pour Aristote, l'homme est un animal rationnel. Si, en effet, la Justice est la vertu souveraine par laquelle l’homme accomplit sa finalité éthique, il est entendu que l’homme n’est envisagé que comme faisant partie d’une communauté politique. ÉTHIQUE A NICOMAQUE. - 7. Textes réunis par Jean-Yves Château, Paris, Librairie Philosophique Joseph Vrin, 1997, p.13-22. Un extrait du chapitre 13 nous permet… Agir vertueusement, par ailleurs, c'est agir dans l'équilibre (éviter les extrêmes, le trop et le trop peu, viser le juste milieu), c'est agir pour générer quelque chose de beau, d'utile ou d'agréable. Aristote, Éthique à Nicomaque Résumé des livres VIII et IX . L’Ethique à Nicomaque est un des trois ouvrages d’Aristote traitant de la philosophie morale. Discussion:Éthique à Nicomaque/À faire — Wikipédia . Résumé Les livres 8 et 9 de l'Ethique à Nicomaque constituent un traité à part entière. Aristote commence par définir la Justice de manière intuitive : « Nous observons que tout le monde entend signifier par justice cette sorte de disposition qui rend les hommes aptes à accomplir les actions justes, et qui les fait agir justement et vouloir les choses justes ; de la même manière, l’injustice est cette disposition qui fait les hommes agir injustement et vouloir les choses injustes[22]. Est volontaire ce qui est accompli en connaissance de cause, et un acte volontaire peut être réfléchi ou irréfléchi, c’est-à-dire avoir été précédé d’une délibération ou non. Aristote Éthique à Nicomaque Traduction (1959) J. Tricot (1893-1963) Éditions Les Échos du Maquis, v. : 1,0, janvier 2014. Aristote range la réflexion sur l'éthique dans une science générale, architectonique : la politique. Il faut faire la différence entre l'homme intempérant, qui est vaincu par ses désirs (un homme colérique par exemple, qui est emporté par son ardeur), et l'homme débauché qui fait preuve de mollesse (un homme qui se complaît dans la recherche du plaisir). Ce livre ne se résume, ni ne se commente facilement car de Kant à John Rawls , tous les philosophes ont discuté avec Aristote sur la question de la vie bonne et celle du bonheur. » C'est une très belle manière de dire que ces deux penseurs se complètement et que la compréhension de l'un peut très bien passer par la réfutation de l'autre. Dans le livre I, Aristote cherche à définir le bien (ἀγαθόν, agathon en grec ancien), se demande quelles sont ses causes, et s'il existe un bien générique ou plusieurs biens homonymes entre eux. Nicomaque est à la fois le nom de son fils (qu'Aristote a eu avec Herpyllis) et de son père. Location Courte Durée Nantes Particulier, Tous les êtres vivants recherchent le plaisir, y compris les animaux. Mais Aristote rapproche ce terme ἦθος d'un autre à la graphie voisine, ἔθος, éthos, qui signifie « habitude ». Les livres VIII et IX de l'Ethique à Nicomaque constituent un traité à part entière. Informations sur L'amitié : éthique à Nicomaque : livres VIII et IX (9782743650759) de Aristote et sur le rayon Philosophie, La Procure. La composition de l’Ethique à Nicomaque a l’allure d’une ascension : elle suit une haute progression par les vertus morales et dianoétiques, ou ce qui les fortifie (livres II-IX) vers l’objet final de l’éthique, défini au livre I et étudié au livre X, le bien-vivre. Les états habituels correspondent à « notre comportement bon ou mauvais relativement aux affections »[18]; les facultés correspondent aux « aptitudes qui font dire de nous que nous sommes capables d'éprouver [ces passions] »[19]; enfin, les passions correspondent à « toutes les inclinations accompagnées de plaisir ou de peine »[18].Or, à la différence des facultés, vice et vertu ne sont pas par nature : ils sont le fruit d’un exercice et d’une activité de l’agent qui en est donc pleinement responsable. » Aristote poursuit en examinant plus avant la justice particulière, celle qui renvoie à l’idée d’égalité. La justice politique est donc la justice universelle de ceux dont les relations sont réglées par les lois ; elle peut être naturelle ou légale. ÉTHIQUE A NICOMAQUE. Le préfacier de la traduction de Barthélemy-Saint-Hilaire, Alfredo Gomez-Muller explique que l'éthique est un savoir à la fois théorique et pratique et qu'elle s'identifie à la politique. Selon Gauthier et Jolif, éditeurs dominicains de l’Éthique, Aristote lui-même ne parvient pas complètement à l'élaborer, il s'en tient à des termes familiers comme « agir de son plein gré », « faire exprès », « agir volontiers », « de bon cœur »[21]. 6 [1131 a 9] Et puisque, â la fois, l’homme injuste est celui qui manque à l’égalité et que l’injuste est inégal, il est clair qu’il existe aussi quelque moyen entre ces deux sortes d’inégal. La justesse de la distribution fait donc en quelque sorte intervenir l'idée de valeur relative, et cette idée que les parties prenantes puissent ne pas mériter le même traitement est au cœur de la distinction entre le juste distributif et le juste correctif. C'est ce dernier qui est le meilleur des trois, mais seul un bien est véritablement valable, c'est le bien suprême : le bonheur. (1) Dans l'ensemble, le livre est cohérent, sauf sur quelques points secondaires sans importance. En fait, il est connu de tous, et estimé en tant que tel : il s’agit du bonheur. En même temps l’ Ethique à Nicomaque articule la politique et l’éthique dont elle n’est qu’un moment. Mais il doit y avoir une fin suprême car sinon on se perdrait dans l’infini et nos tendances se videraient de leur contenu et deviendraient sans effet. Ethique à nicomaque livre 4 résumé. Les livres 8 et 9 de l'Ethique à Nicomaque constituent un traité à part entière. Nicomaque, le fils d’Aristote, a été plutôt l'éditeur de l'ouvrage, selon le P. Gauthier, aidé par Théophraste (successeur d'Aristote à la tête du Lycée), entre 310 et 300. La justice entendue comme égalité porte le même nom que la justice entendue comme légalité, mais la première est donc en réalité partie de la seconde. Notre travail n'aspire qu'à offrir au lecteur les moyens du jugement. L'homme chez Aristote est toujours aussi citoyen et il doit toujours penser son bonheur au sein de la cité et jamais dans l'autarcie ou la marginalité. Réciproquement, l’injuste est ce qui est en dehors de la proportion : « L’injuste peut donc être soit le trop, soit le trop peu, et c’est bien là ce qui se produit effectivement, puisque celui qui commet une injustice a plus que sa part du bien distribué, et celui qui la subit moins que sa part. Il est, avec l’Éthique à Eudème et la Grande Morale (Magna Moralia, d'authenticité douteuse), l'un des trois principaux livres exposant la philosophie morale d'Aristote. La justice politique naturelle désigne « celle qui a partout la même force et ne dépend pas de telle ou telle opinion »[32], tandis que la justice politique légale désigne « celle qui à l’origine peut être indifféremment ceci ou cela, mais qui une fois établie, s’impose »[32]. L'"Éthique à Nicomaque", composé de dix livres, est l'un des principaux ouvrages exposant la philosophie morale d'Aristote, laquelle deme Cette intelligence propre à l’action se fonde davantage sur l’exercice du jugement que sur des connaissances générales. 33 Full PDFs related to this paper. Par conséquent, vivre conformément à des lois bien pensées équivaut à vivre de manière éthique : « Cette forme de justice, alors, n’est pas une partie de la vertu, mais la vertu tout entière, et son contraire, l’injustice, n’est pas non plus une partie du vice, mais le vice tout entier[24]. Puis, Aristote se concentre sur l'importance d'adopter un comportement continuellement vertueux, grâce à l'habitude de la pratique d'actes de ce genre. Aristote y développe une théorie de l'amitié (philia), dont l'acuité et la richesse sont restées sans égal dans la littérature philosophique. La forme actuelle du texte, transmis par des copies médiévales, provient d'un arrangement éditorial dont la nature et l'importance restent difficiles à élucider. L’Ethique à Nicomaque d’Aristote est le livre le plus influent de la philosophie morale, qui est une suite de La Politique tant la morale est politique chez Aristote.Ce livre ne se résume, ni ne se commente facilement car de Kant à John Rawls, tous les philosophes ont discuté avec Aristote sur la question de la vie bonne et celle du bonheur. Aristote précise : « Mais dans les relations d’échanges, le juste sous sa forme de réciprocité est ce qui assure la cohésion des hommes entre eux, réciprocité toutefois basée sur une proportion et non sur une stricte égalité »[29]. L’éthique est une démarche vivante : elle n’est pas un recueil d’obligations et d’interdictions, une sorte de catéchisme exhaustif écrit une fois pour toutes. Visite Insolite Luberon, L'auteur réfléchit ensuite sur l'origine du comportement vertueux. Par suite, le bien propre de l'homme est l'activité de l'âme dirigée par la vertu ; et, s'il y a plusieurs vertus, dirigée par la plus haute et la plus parfaite de toutes »[16]. Pour Aristote, l’éthique est avant tout une sagesse de l’homme qui se détermine dans l’action. L'Ethique a Nicomaque Aristote l'amitié. La dernière modification de cette page a été faite le 20 janvier 2021 à 08:56. La composition de l’Ethique à Nicomaque présente l’allure, même reconstituée, d’une ascension : elle suit une haute progression par les vertus morales et dianoétiques, ou ce qui les fortifie (livres II-IX), vers l’objet final de l’éthique, défini au livre I, et étudié au livre X, le bien- vivre. Il est coloré (en bleu), et présente un côté ludique grâce à un schéma également coloré qui donne une impression de mouvement, ou de cheminements convergeant vers un but commun. L’Éthique était en effet un cahier de notes, mises en formes par ses élèves dont Théophraste, qui découpa l'ouvrage en dix livres. L'argument repose sur un examen rigoureux de la notion de Justice. L'Éthique à Nicomaque s'inscrit dans un genre philosophique qui aura beaucoup d'autres illustrations (voir, dans le présent livre, l'Éthique de Spinoza). Aristote, Éthique à Nicomaque Résumé des livres VIII et IX . Des milliers de livres avec la livraison chez vous en 1 jour ou en magasin avec -5% de réduction . Aristote évoque dans le livre VI (chapitre 13) le « syllogisme de l'action », qui est discuté par G. E. M. Anscombe dans L'Intention. « L'amitié parfaite est celle que nouent les hommes bons les uns avec les autres et ceux qui se ressemblent sur le plan de la vertu. Éthique à Nicomaque. Aristote y développe une théorie de l'amitié (philia), dont l'acuité et la richesse sont restées sans égal dans la littérature philosophique. — Une lecture de /'Éthique à Nicomaque et de /'Éthique à Eudème, affranchie momentanément des nombreux commentaires spécialisés, montre à quel Aristote fait un éloge de la douceur, au détriment des excès colériques et passionnels. À savoir que le bonheur, dans sa définition aristotélicienne, n'a pas la définition qu'on connaît aujourd'hui : le philosophe adopte une définition « négative », en creux, ainsi que le faisaient souvent les philosophes antiques. Les contraires du magnanime d'après Aristote sont le vaniteux et le lâche. « tout bien se définit par rapport à un « acte » (en grec, « Le bien, la perfection pour chaque chose varie suivant la vertu spéciale de cette chose.

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