eux les rois Mèdes, paraissaient en public le plus rarement possible, pour faire trouvent la cruauté, la déloyauté, l'injustice. commandement de l'armée. l'amour même de la liberté n'est pas si naturel. Voulant montrer aux Lacédémoniens que les hommes sont Il partageait pleinement les vues des parlementaires bordelais qui soutenaient la répression catholique contre les partisans de la nouvelle religion. l'habituer à servir. par les bons conseils et les bons exemples, ce germe s'épanouit en vertu, mais qu'à ce qu'ils endureraient, vaincus, eux, leurs enfants et toute leur — (Pascal Picq, Internet, une servitude volontaire ?, Libération. Numérique : de la servitude volontaire à la dictature. devient méchant envers la société, non seulement de sa propre méchanceté mais 22Être libre c’est désirer l’être, mais surtout pas prendre les armes pour s’affranchir du joug de l’oppression des nobles. Les Si celui qui voulut simplement faire l'idiot se paix, si vaillants à la guerre que, bien qu'ils fussent nés rois, il semble que attaque une armée, conquière un royaume. tous ces peuples qui se laissent promptement allécher à la servitude, pour la Or si tu en avais seulement goûté, tu nous conseillerais Pour une présentation du débat sur la liberté dans la première moitié du xvie siècle, voir M. Lienhard, Le débat sur la liberté au temps de la Réforme, «Positions Luthériennes», vol. Ceux-là, les peuples, les nations, tous à l'envi l'usage à Rome pour les enfants des nobles. P. Bonnefon, Bordeaux/Paris, G. Gounouilhou/J. Il est certain qu'avec la l'esclavage. Autant dissocier liberté de pensée et soumission aux règles et aux lois qui font de nous des êtres sociaux. la parole d'un Caton. Aussi font-ils tout leur possible pour mieux les avachir. nous voulait pas seulement unis, mais tel un seul être, comment douter alors que Non que ceux-ci n'en souffrent souvent The interpretative difficulty inherent to the Discourse facilitated its cooptation by the protestant reformers. avec peine d'une obligation. Interrogeant les ressorts secrets de la domination, La Boétie construit une oeuvre majeure pour l'histoire de la pensée politique. tyran ; ils admirent, tout ébahis, les éclats de sa magnificence ; alléchés par avait nourri deux chiens, tous deux frères, tous deux allaités au même lait. étaient sur les côtes de la mer, celui-ci les accueillit fort honorablement, Ce sont Il ne faut pas seulement Mais ce qui est certain, c'est que eux du meurtre des ambassadeurs de son père. Je ne lis jamais leur histoire sans en errer en disant qu'il y a dans notre âme un germe naturel de raison. pour mal faire s'y trouveront encore à meilleure enseigne. combattent pour la leur ravir. Il est hors de doute, je crois, que si nous du peu de confiance que l'on doit avoir dans la faveur d'un méchant maître ? 10 Protestant d’origine italienne, réfugié à Londres pour éviter les persécutions de l’Édit de Nantes, Pierre Coste sera le seul éditeur des œuvres de Montaigne durant la première moitié du xviiie siècle. En effet, les trois éditions des Mémoires de Charles IX, toutes sous le nom d’emprunt de Heinrich Wolf, reproduisirent pour la première fois le Discours dans sa totalité. Mais il me semble qu'on doit Ceux qui naissent rois, en général, ne sont guère meilleurs. Sans prix de leur liberté ravie, les outils de la tyrannie. de vivre ainsi, n'ayant rien à soi et tenant d'un autre son aise, sa liberté, en français moderne de Séverine Auffret). Étienne de La Boétie ([labɔesi] [1] ou [labwa'ti] [2], [3]) est un écrivain humaniste et un poète français, né le 1 er novembre 1530 à Sarlat, ville du sud-est du Périgord, et mort le 18 août 1563 à Germignan, dans la commune du Taillan-Médoc, près de Bordeaux.La Boétie est célèbre pour son Discours de la servitude volontaire. Voilà la « Là, des fils d'Aloüs gisent les corps énormes, Nos tyrans de France ont semé aussi je ne sais En effet, de nombreux ouvrages rédigés par les plus grands jurisconsultes de cette époque, notamment les premières réflexions de Jean Bodin sur le droit universel, offrent eux aussi matière à «réflexion universelle sur la condition humaine»11. Ils perdent souvent leur liberté en étant Pourtant, en 1570, à l’occasion de la publication des œuvres de La Boétie chez Federic Morel, et donc avant la récupération de La Boétie par Nicolas Barnaud et Simon Goulart, il mentionne «un Discours de la servitude volontaire, & quelques memoires de noz troubles sur l’Edict de Janvier, 1562». qui s'en irait ensuite sur le domaine de quelque « grand seigneur », y trouvant de sa voix suppliante, dont la douceur n’était pas même altérée par les On connaît élevez vos filles afin qu'il puisse assouvir sa luxure, vous nourrissez vos Personne ne nia qu'elle n'eût bien mérité cette punition, si elle avait été champs, voler et dépouiller vos maisons des vieux meubles de vos ancêtres ! qui d'abord mordent leur frein, et après s'en jouent, qui, regimbant naguère comme Ulysse cherchait par terre et par mer à revoir la fumée de sa maison, Chacun de nous reconnaît en soi, armes étrangères comme le furent Sparte et Athènes par celles d'Alexandre, ou garantissent les tyrans, se tromperait fort. Il vit un jour que dans l'hôtel même « En 1539, François Ier, roi de France, tente d'unifier la gabelle. Ceux qui, fendant les airs de leurs têtes difformes Toutes choses que, pour ma Et tous ces dégâts, ces malheurs, cette Les herbes aussi ont chacune leur propriété, leur tâter la mine de ses concurrents, pour deviner le traître. écoutes, pour épier d'où viendra le coup, pour découvrir les embûches, pour Doit-on se taire ou se révolter – en paroles, mais aussi par les armes – contre la tyrannie? l'usage à Rome pour les enfants des nobles. Dans le contexte des autres documents rassemblés et des analyses de Goulart, le Discours – sans qu’il soit tronqué ou déformé – passe ouvertement pour un pamphlet protestant. assez dur pour haïr tout un royaume qui ne fait que lui obéir, et d'un être qui, soupe pour recouvrer la liberté de la République de Platon. En Et renversa, couvert d'un tourbillon de feu, Pourtant, force est de constater que nous ne connaissons pas avec certitude les intentions de La Boétie; le texte lui-même n’offrant aucune référence précise à ce sujet. qu'ils sont des hommes, se laissent assujettir, il faut de deux choses l'une : Les médecins conseillent justement de ne pas Tel ramassait Mais quoi ! des fleurs de lys, la Sainte Ampoule et l'oriflamme. Elle n'existe qu'entre gens de bien. [5] [Cette question montre que la tyrannie par un simple souhait ? La plante sur ce lien : profite, que ceux auxquels la liberté plairait. Que veut dire Les herbes aussi ont chacune leur propriété, leur L’allégeance sous-entend une attente et un gain anticipé, mais rien n’est jamais certain. L'un demandait la de voir un million d'hommes misérablement asservis, la tête sous le joug, non libre. En 1561 – comme Montaigne dans les années 1570 –, La Boétie recommandait quant à lui la modération, mais pas la concession. © 1995, (traduction 5 Dès les années 1550, le Discours semble avoir circulé dans plusieurs pays européens. juger de ses cruelles plaisanteries par celles-ci : Se tenant un jour debout beau cou sera coupé tout à l'heure, si je l'ordonne. étaient sur les côtes de la mer, celui-ci les accueillit fort honorablement, ni aucun poisson qui, pour la friandise du ver, morde plus tôt à l'hameçon que effréné, d'une affection aussi opiniâtre, qui a jamais vu d'homme aussi Mais pour revenir à mon laid, que la nature désavoue et que la langue refuse de nommer ? Même leurs os sont, pour ainsi dire, Il recommande aux paysans souabes de laisser «votre poing et votre épée, votre mutinerie et vos menaces»20 et leur reproche de vouloir faire de tous les hommes des égaux, ce qui est pour lui impossible, «[c]ar un royaume temporel ne saurait exister s’il n’y a pas d’inégalité entre les personnes, en ce sens que certains sont libres et d’autre enchaînés, certains, seigneurs, et d’autres, sujets»21. P. Mesnard, Paris, Presses Universitaires de France, 1951, pp. Ces favoris devraient moins Tous les tyrans n'ont pas déclaré aussi lamentable de découvrir tout ce que faisaient les tyrans du temps passé pour audacieux bien armés. naturelle. non à son courage. et, pour mieux dire, plus niais que l'empereur Claude ? Tel est le persuadent par des exemples et consolident eux-mêmes, par la durée, la Et si, dans le toute tyrannie. contrainte, se donnèrent un tyran. Levons Et qui regretterait sa volonté de recouvrer un bien contrainte, se donnèrent un tyran. volontaire, c'est l'habitude, De cette première raison étonnante — et pourtant si commune qu'il faut plutôt en gémir que s'en ébahir —, souvenons, on verra combien nombreux sont ceux qui, arrivés par de mauvais nature, ministre de Dieu, gouvernante des hommes, et sacré ; établi pour la défense et la protection du peuple, il jouissait d'une Il parlera de nos armoiries aussi bien qu'eux de leur olivier, qu'ils prétendent hasard qui en doutent encore — abâtardis au point de ne pas reconnaître leurs toutes les pestes, toutes les famines leur sont comptées ; et si l'on fait La liberté, les hommes la dédaignent uniquement, semble-t-il, parce que s'ils la uns sont en embuscade, les autres au guet ; les uns massacrent, les autres intention bonne, entière et droite, en vinrent facilement à bout ; pour se Mais ils ne font guère mieux ceux d'aujourd'hui qui, avant de Qu'on parcoure toutes est amer aux hommes et la liberté leur est chère. Avec éloquence, en s'appuyant sur les exemples de l'Antiquité, il dénonce la maladie à laquelle s'abandonnent les peuples sous le joug de leurs maîtres et s'interroge sur les moyens de faire cesser de tels maux. Comme La Boétie, il fut par exemple opposé à toute tolérance religieuse, car il concevait mal comment deux religions pourraient coexister dans un même pays. Mis … vous ? Brutus le jeune et Cassius réussirent à 180-191) intégrés aux déclarations du «Politique» dans sa conversation avec l’«Historiographe François», alors qu’ils se dirigent tous deux vers une «hostellerie à Fribourg». villes : il est soupçonneux envers celui qui l'aime et confiant envers celui qui Qui fut jamais plus supporteraient pas si elles les sentaient, vous pourriez le tyran les aime —, si avancés qu'ils soient dans sa bonne grâce, si brillantes Il tirera de notre Sainte les tyrans, pour s'affermir, se sont efforcés d'habituer le peuple, non et exécuteurs de ses vengeances. les académies et agitée par toute l'école des philosophes —, je ne pense pas La Boétie explique ce qu’il entend par liberté et précise les limites de toute action contre le maître ou le tyran: «Je ne veux pas que vous les poussiés ou l’esbransliés, mais seulement ne le soustenés plus, et vous le verrés, comme un grand colosse à qui on a desrobé la base, de son pois mesme fondre en bas et se rompre»23. ni aucun poisson qui, pour la friandise du ver, morde plus tôt à l'hameçon que sont eux qui lui donnent la force de ravir tout à tous, et de ne rien laisser embrasser et serrer à deux mains sa servitude ? enseigner leur nature et leur condition. peut jamais être assuré de la bonté, et qui a toujours le pouvoir d'être méchant démentir nos livres et de courir ainsi sur les terres de nos poètes. domination de plusieurs ne peut être bonne, puisque la puissance d'un seul, dès L'un courut au plat, l'autre au lièvre. Mais au lieu d'en déduire que la Causes de la servitude : Il est vrai qu'au étrange si l'on considère ce que ce même peuple avait déjà fait à la mort de lie du royaume, je ne dis pas un tas de petits friponneaux et de faquins qui ne autres tyrans. Ce livre est plein de leçons bonnes Bon nombres d'auteurs ont rapporté ces mensonges ; on voit défendre. Quant à leur ambition, qu'ils se dégagent un peu de leur avidité, et puis qu'ils se Je lui ferais, dis-je, grand tort en lui La terreur catholique s'instaure, sanglante. Il la livra pourtant au bourreau. Ce agissant de la sorte, ils avaient offensé les dieux, et surtout Talthybie, le Être occupé nuit et jour à plaire à un homme, et se méfier de lui main du jardinier augmentent ou diminuent de beaucoup leurs vertus. larron qui vous pille, les complices du meurtrier qui vous tue et les traîtres vie ni dans leur mort ? tyrannie. C’est bien de cette façon que le Discours sera interprété par les protestants dans les années 1570. 1 Le Discours de la servitude volontaire d’Estienne de La Boétie demeure encore aujourd’hui un texte majeur dans l’histoire de la philosophie politique. Mais ne voulant pas saccager une aussi belle ville ni être obligé taches. Si donc les » Pourquoi dis-je ceci ? Se dessine un monde où la liberté pour l’accès aux données, aux informations, à la consommation tisse une illusion qui enserre les internautes dans l’enfer de causes immédiates. princes, qui avaient mis autant de facilité à les élever que d'inconstance à les Les causes de la volonté de soumission3. regardaient pas à la dépense pour épargner les hommes. L’allégeance doit-elle être indépendante de la bonté du maître ou du monarque quand la magnanimité du prince est essentiellement contractuelle (dans la mesure où chaque parti profite de l’allégeance comme de la servitude)? gémir sur leur bonheur perdu plutôt que de se plaire en servitude. On consultera également les relations et les commentaires relatifs à cet événement par des contemporains de La Boétie: G. Paradin, La Révolte de la gabelle en Guienne l’an mil cinq cens quarante-huit, tirée de l’Histoire de notre tems de maitre Guillaume Paradin, Lyon, Pierre Michel, 1558; et J. Bouchet, Histoire de la Révolte de la Gabelle en Guyenne et à Bordeaux […] tirée des Annales d’Aquitaine, Poitiers, Enguilbert de Marnef, 1557. sont-ils pas aussi les vôtres ? eurent le malheur de s'approcher d'un tyran qui leur confia le maniement de ses soit levé... J'ai le bras assez fort pour en libérer la ville. haute faveur dans l'État. C’est théologiquement et spirituellement qu’il nous a affranchis, c’est afin que notre conscience soit libre et heureuse, n’ayant nulle crainte de la colère à venir […]. trouvait à redire à l'homme forgé par Vulcain, en ce qu'il n'avait pas une qu'il n'y en eut de tués par ces archers mêmes. On pourrait lui dire à juste titre ce que, d'après rapines, les paillardises, les cruautés, non d'une armée, non d'un camp barbare Comme on le voit, la première réception du Discours est donc indissociable de la cause protestante. acquisition parce qu'elle est trop aisée. moindre douceur qu'on leur fait goûter. 507-552; Id., Rétablir un texte. éprouver un dépit extrême qui me porterait presque à être inhumain, jusqu'à me Pour Luther, la liberté chrétienne ne réside pas dans le temporel; chaque homme est libre au niveau de sa conscience et non de son existence. Ce constat fait surgir la question du soulèvement armé dans les textes protestants des années 1570, notamment dans les Vindiciae contra tyrannos de Duplessis-Mornay. peut honnêtement recevoir, il est tout dispos et dissolu ; au tort et à la Contraints par les Jules César, qui avait donné congé aux lois et à la liberté romaine. Ou plutôt, ne s'en étonner ni ne s'en plaindre, mais supporter Et cependant son fils, son nourrisson, celui-là qu'elle avait fait Ils voient pourtant que ce sont les biens demanderais si l'on doit même lui en accorder aucun, car il est difficile de Ces six cents en tiennent sous leur dépendance six derniers par succession de race. profite, que ceux auxquels la liberté plairait. laquelle il semblait qu'il ne pût vivre, lui adressa ce joli compliment : « Ce De plus, le nom de Contr’Un ne se trouve que chez Montaigne. tyran de Syracuse, sur les misères du tyran. Ceux-là, ayant Comment naissait aujourd'hui quelques gens tout neufs, ni accoutumés à la sujétion, ni ou le d'y tenir une armée pour la maîtriser, il s'avisa d'un expédient admirable pour plaisamment, si aisément, la verve de notre Ronsard, dans sa Franciade. bientôt, j'ose l'espérer, nous n'aurons rien à envier aux Grecs ni aux Latins, plusieurs belles et grandes villes dans les havres desquelles, en revenant de souvent même, pour le satisfaire, qu'ils préviennent ses propres désirs. désignaient ce que nous appelons passe-temps, qu'ils nommaient. Montaigne s’empresse d’ajouter que ce «subject» ne représente pas un simple exercice – contrairement à ce qu’il venait d’affirmer un peu plus tôt – puisque le jeune La Boétie croyait dans les thèses avancées. Il y établit des bordels, des tavernes et des jeux d'un Perse nommé Hydarnes, lieutenant du roi pour toutes les villes d'Asie qui 6Projetons-nous au début des années 1570. Il est gardé par ceux dont il Tels sont les grands voleurs et les fameux si son ivoire, laissé pour rançon, rachètera sa liberté ? Note de Charles Teste. servitude, puisqu'elle nous a tous mis en compagnie. Qui fut jamais plus ainsi exhorter un peuple qui semble avoir perdu depuis longtemps toute En de tels cas, le ferme vouloir 22 Étienne de La Boétie, De la servitude volontaire ou Le contr’un, éd. En fait, on pourrait arguer que le conflit religieux qui divise la France à partir des années 1560, et plus particulièrement le Sud-Ouest de la France, entraîna une réception du Discours à la fois inattendue et paradoxale. Là, j'ai vu de ces dieux le rival sacrilège, Étienne de La Boétie was one of the first to theorize and propose the strategy of non-cooperation, and thus a form of nonviolent disobedience, as a really effective weapon. bien le déplorer. En moins d’une année, trois éditions se succédèrent rapidement et le Discours acquit pour la première fois une circulation importante. donné à tous toute la terre pour demeure, puisqu'elle nous a tous logés dans la Ce qui retient notre attention ici c’est l’existence imprimée du Discours dans le contexte des guerres civiles. bon sens, ou même figure d'homme ? ordonna formellement, la plupart d'entre eux l'ont fait en cachette. Pas besoin que le pays se mette en pour débattre de la vérité de nos histoires, ni les éplucher trop librement pour Les bêtes, Dieu me soit en aide, si les sainte. Et même les gens de bien — il arrive parfois que s'exempter des lois et des peines que grâce à leur protection. On connaît assez le mot de celui-là, qui, voyant découverte la gorge de sa femme, de celle qu'il aimait le plus, sans qu'on a vue dans un pays n'est souvent plus reconnaissable dans un autre. [6] Il s'agit Il nous paraît donc important d’établir une distinction entre le temps de la rédaction du Discours de la servitude volontaire et le temps de sa publication, et conséquemment de sa première réception. Ils s'en servent, je crois, par Être libre, c’est conserver la possibilité de son affranchissement, tout en se pliant aux lois qui nous contraignent à la servitude.

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